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(ri rn g. ), le Trieux, grossi (rive dr.) du 1Yau~on. Hors du département, le Bandiat lui apporte
(ri1·e dr.) son tribut. Cetle ri1·ière nait aussi en }·!te-Vienne; en Dordogne, elle forme la cascade
de Masfraulé , descend l’ers le S.-0., quille, peu après l’lontron, de1’ant leq uel elle passe, les
terrains gran itiques pour les terrains calcaires, où elle commence à s’infiltrer, remonte brusquement
Ye rs le N.-0 .. reçoit (1·i l’C tir. ), par la Doue, l’écoulement de l’étang de St-Estèphe, et quitte
bientùl le département après environ 35 kil. de cours.
Marais. Étangs. En 1900, le département comptait 10000 hect. de terres marécageuses, dont
environ 6000 exposés aux inondations périodiques des cours d’eau.
Dans la Double. Yaste plateau imperméable de 60000 hect., les maeais ont peu à peu disparu ; on
ne peut y citer maintenant que les étangs de Petitonne et de S t–BciJ”thélemy-de-Double. Dans
l’arroncl. de l\onll’On, nous pouvons mentionner l’étang de S t-Estèphe et celui de Groulier; clans
l’anond. de Sarlat, l’dang de Gi·oléjac.
Sources minérales. Les sources minérales de la Bachellerie, du Panassou, clans l’arrond. de
Sarlat: de Bandica/et, clans celui de Be1’gerac, etc., ne donnent lieu à aucune exploitation importante.
Les eaux de Ja Dl âme sont incrustantes, de même que celles du Soucy, à Lalinde; Soiinac
et St-Astier possèdent des sources pétriflantes.
Climat
Ilangé sous l’influence d’un climat tempér é, le climat girondin. le département jouit d’une
température do uce, que les vents dominants d’O. chargent d’humidité. Celle température
s·abaisse en gagnant du S.-0. au N.-E. les régions élevées qui sont aussi celles des terrains
froids. au so us-sol granitir1uc, qui reçoivent annuellement le plus d’eau. La hauteur d’eau
tombée ~- altein t en effet ’10 décim., vers la limite de la Hte-Vienne, tandis qu’elle n’est que de
ï décim .. cl ans la Yallée de la Dordogne, la partie la moins pluvieuse du département. C’est
surtout au printemps e t en lti1·er que l’eau tombe, car la neige est rare clans Je département ; la
tempéralure mo~·e nn e de l’hirnr ù Périgueux est d’aill eurs supérieure à celle de Paris, bien que
les vents les plus fréqu ents, après ceux de l’O., soient ceux cl11 N.
Ajoutom: e nfin que la région Ja moins salubre est la Double, que les assainissements effectués
ont cepC’nclant beaucoup améliorée.
Préfecture
Divisions administratives
ÉTENDUE : 918.’!55 hectares (Cadastre).
POPULATION (1901) : 452.951 habitants.
Arrondissement:;
: PÉRIGUEUX 1
1
Cantons