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113 LE SON SA PERCEPTION. SA FORMATION GLOTTIQUE

sseurra liet ectr 1sc”o ïdre , le p· remier de ces carti. lages s’a b ais-
, , , ,me merait à mesure que le son de l .
s eDle ve: c est le contra1’re qm . a l”i eu. a v· oix
. e même, l’espace libre entre le th “d
cricoïde devrait se rétrécit· yro1 e et le
du grave. à !’aigu; cela ne
se ~rodmt pas davantage.
. Le rôle de ce muscle, déjà
importantdansladéglutitio~
au moment où les cartilage~
du larynx viennent se blottir
sous la langue, est également
~onsidérable dans la
pho~abon ; mais il n’est pas
celm qu’on a dit. n
· p
Nous le définirons mieux
tout à ~’heure. Voyons ce
q.ue devient l’insertion antérieure’
thyroïdienne’ des
cordes. vocales pendant la
phonation.
Fig. 34.
CT, crico-thyroïdien. – P, pivot
de la pellte corne.
, ~a pomme d’Adam, c’esta-
d1re la saillie de lh “d .
titude dans nombre (yloro.1 ed, _vl.arie d’attitude et d’al-
D
‘ con 1 ions
une façon géuérale clic ·
l’intonalionse fait plus ai’ .. monte à mesure que
baisse la tête rétracte 1 Îue, sauf quand le chanteÛr
P.ou~ les sons’ aigus, ver: l:r~:~ ~n ha~t et en arrière
ams1 des sons généraleme t u crane, et donne
La position de la pom::e ~~~~erts et ~ans portée.
même son, selon la vo elle am varie, pour un
cées, selon la béance ~ l’ et la consonne prononmouvements
de la mâche. oudvertu.re buccale, les
Pl , Oire, u crane et
us 1 on chante fort, plus le larynx ~st :~ géné-