derie. Quelquefois, cependant, pour alléger, 1 tre la dilatation. La circulation d’eau autour
elle est rapportée ; on la fait alors en tôle des cylindres se fait, soit vertièalement avec
de cuivre légèrement ondulée pour permet- entrée d’eau par le bas et sortie par la partie
i
Fig. 1185
i’
Fig. 1186 1
Coupe d’un cylindre par la . oupape d’ad ‘” o
a Couvercle de culbuteurs i Tringle de corn ande
b Écrou de gouj on de fixa- j Grain de oupap<'
lion du couvercle de cul- k Écrou de blocage du grain
buteur l Cuvelle
c Bouchon de graissage 111 Ressort enveloppant
d Plaque d'oblumtion sc r- n llessorl enyeloppe
vaut au ()'ra i ssao-e o Soupape d'admission
e Goujon :Îc fixaÔon de la p Siege de soupape
plaque d'obturation q Ilouchon de soupape
f Ilouton moleté 1' Joint du bouchon de SOUY
Culbuteur pape
h Axe de culbüteur ·s Joiul rlu s iege de soupape
supeneure de la chambre d'eau (fig. 1187), soit
horizontalement avec entrée et sortie d'eau
du côté du radiateur : ce dernier mode de
circulation réduit à son minimum la tuyauterie
d'eau (fig. 1188).
Piston. - Les pi ton e fon ê ê ~ ~
C'Il fonte. Comme le pi ton e t moin refroi ·
que la paroi eptourée d'eau du cylindre, il ra
lui permettre une libre dilatation ; pour cela
on laisse entre le piston et son cylindre un
léger jeu variant de quelques centièmes à
quelques dixièmes de millimètre. Le pi ton
est muni de segments S en fonte douce dont
le nombre varie de deux à six par piston
(fig. 1189). Le joint de ces segments est soit
en sifflet, soit à baïonnette (fig. 1190); les eg