que l’aryténoi’de s’incline en dedans et en dehors sur
sa selle sans mouvement de torsion.
Il est dès lors facile do comprendre lamanoeuvre
musculaire, telle que je
l’ai définie il y a plusieurs / flJ
années. ? / J
L’apophyse externe de – /JI/ fJ.! .1 l’aryténoïde donne attache 15′
à deux muscles dont nous /,.
avons parlé plus haut. r
C’est, en avant, le crico- TA_..(,,c!..”-~
aryténoïdien latéral, qui CAL—\Xa=–
part en avant de cette apophyse
externe et s’étale en
éventail sur la face latérale
du cartilage cricoïde;
ses fibres s’étendent
obliquement en avant
et en bas.
Fig. ’27.
TA, thyro-aryt<'noïdien latéral. -
CAL, crico-arvténoïdien latéral. -
AO, arvLénoïdien oblique. - AT,
aryténoïdien lransverse. - CAP, cricn-
arylf>1,1 1ïdion posLél’icur.- F, fossette
articulaire.
En arrière, le cricoaryténoïdien
postérieur
part de cette même apophyse
et ses fi brcs se dirigent
également on 6vPnlnil snr la moitié correspondante
Je la f1t1:0 poslt’•rio111·< du cri1-,oïde, obliquemenl
en nrrière, c.n 1111s , ot on 1IB•lans.
La conlraclion non nllcl'lll\live, mais simultnnée,
de ces deux 11111s<:los CX(ll'CO une action énergi~ue
sur l'apophyse oxl<'l'll
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