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213 COMMENT SE PERDENT LES VOIX, GRANDS ET PETITS ACCIDENTS DU TRAVAIL VOCAL

s’installer et prendre un rythme, et la voix est alors
comme animée d’un battement; de ligne droite la
tenue ;ocale . devient une ligne ondulée, non ~as
lr~mble~, mars comme un trille continu et involontaire:
C est le chevrotement, sorte de convulsion
clomque de la musc~lature gloLLiquc, qui donne à
chaque no,t~ d~ ~a, voix une oscillation perpétuelle,
dont la per10d1clle est à peu près la même pour
t?~tes les notes, plus courte naturellement dans
l aigu que dans le grave. Le chevrotement est le
manque de stabilité de la tenue vocale, un vacillement
rythmé de la voix, une variation continue
dans la hauteur du son.
. Le tremblement est autre chose. C’est une variation,
non pas dans la hauteur, mais dans l’intensité
du s?n. II e.st p~us souvent lié à l’incoordination
m?tnce resp1rato1re qu,à la vocale; mais les deux
existent. C’est une alternance de force et de faihle~
se du son, analogue au trémolo de l’orgue
mars sans action sur la hauteur du son, comm;
dans le c,hevrote~ent. Toul l’appareil respiratoire
et vocal elant um dans la production de la voix il
s.uffit qu’~ne partie des parois des cavités pneu~allq_
ues soit prise de tremblement pour que toute la
voix tremble. –
.c~rtaines crampes peuvent être unilatérales
Mn1s1ïr la· corde , dro. ite sans la gauche , ou f ausse1· 1a’
M 1110 ne de l alhtude vocale, la voix devient alors
/11t1111ale, comme le son d’une sirène. Dans d’aulres
”””‘• I~ rapprochement des cordes supérieures pe~t
P”‘.”.f 1111·0 un son accidentef superposé.
1 OllM ces troubles sont dus au surmenage à la
I• i·li’. i·d1n absurde de mauvaises attitudes vo~ales.
1 rP ulln11I, physiologiquement parlant, de gêne~