411. EMBRAYAGES PAR FRICTION DE SURFACES CONIQUES OU CYLINDRIQUES.

EMBRAYAGES PAR FRICTION DE SURFACES CONIQUES OU CYLINDRIQUES.
– On sait que les forces de frottem ent de deux corps èn contact sont indépendantes des surfaces en contact. l\fais il est bien évident d’autre
part que la pression unitaire, et par conséquent l’usure, sont d’autant plus réduites que  les surfaces frottantes sont plus étendues. Il est donc avantageux d’envisager les surfaces les plus étendues possible, pour transmettre d’un arbre la puissance à un arbre voisin.
1 – L’embrayage Hartmann (Taveau et Cie, Paris) réalise avec de bons résultats la transmission par frottement de surfaces coniques (figure 1037). Cet accouplement forme une cloche de petit diamètre. Lors de l’embrayage, les deux anneaux coniques qui tournent dans l’huile sont pressés contre les parois intérieures de la cloche par des ressorts et des leviers d’angle, ils assurent une mise en marche sans à-coups tout en donnant une grande force de transmission. Le rattrapage de jeu et le réglage de la pression s’obtiennent de l’extérieur par l’assemblage des deux moitiés de la cloche qui sont pourvues de filets de vis.

2 – L’embrayage Piat (Pygmée) (fig. 1038) réalise la friction contre les parois de la cuvette A par un anneau généralement en fonte, garni de cuir, fendu à sa partie supérieure et ajusté intérieurement sur le centre C, dont il est rendu solidaire par le taquet d’entraîne

Embrayage à friction, système Benn, combiné avec un arbre creux