i;iasse aé1·ienne : Le chau_leur devra donc associer à.
1 effort de tens10n gloll1quc une accommodation
~oc~le de tout l’appareil cl réaliser le mieux possible
1 attitude vocale la plus convenable pour la tonalité
voulue.
Les notes graves cl lüs nolos nignrs n’étant pas
renforcées ~ar les mèm~1 s cavilôs vocales et par la
même tens10n des paro18 do cos c\avill•H, l’ullilude
du chanteur varie scion la 11010 ot il eHL mauvais
d’habilner le cha11Lour à donner Lonlos les notes
sans changer d’ulliludn, cnr cola le force à Lrichcr <'L
à adopter des allilnd<'s qui no pouvont être bonnes
, pour toutes les Loualilés. - Une bonne façon de
p:end~e la meilleure allilude pour chaque note consiste,
a supp?ser l~s notes écrites sur une grande
portee musicale a 20 mètres de soi, de façon à
tourner le visage vers la note qu'on chante c'est-àdire
chanter _en regarda?t devant soi et en bas pour
le grave, droit devant soi pour le médium et lever la
tête d'autant plus que la note est plus aiguë. Baisser
la tête pour les notes aiguës est une mauvaise
hab!tu~e, car les note.s ainsi données manquent de
proJechon et de portee, de timbre et d'ampleur. II
faut regarder ses notes en face, les aiguës en haut,
les graves en bas, el il y a pour cela uno aulrc raiso?,.
non plus physiologique, mois csLl1élique et
mrnrnpie - Quand nu au leur (1 Til une nole très
aiguë dans un pussnge mélodi1111 , celle note est
presque loujourH accc11l.uéo cl r·ôali::ic un véritable
geste musical, une <"lévalion do lu mélodie une
exaltation de l'Pxpl'Ossion 111 usico.le el souvent' de la
pensée lillérairc. li serait ahsnl'()e, au moment où
l'on chante une note correspondant à un mouvement
musical et littéraire d'élévation et d'exaltation de