Dans les roues en dessous, l’eau est admise à la partie inférieure et n’agit plus par son poids, mais par la force vive due à sa vitesse. Elle vient choquer des aubes planes ou courbes, imprimant à la roue un mouvement de rotation d’autant plus grand que la résistance à vaincre est plus faible. Pour de faibles chutes d’eau, le coursier est remplacé par une simple gouttière horizontale ou ... Lire la suite »

Dans ces roues, le point d’admission de l’eau se trouve entre l’axe horizontal et le sommet de la roue (fig. 1355). Elles ont sur les roues en dessus J’avantage de tourner dans le sens du courant et de permettre un plus grand diamètre, notamment lorsque la hauteur de chute n’est pas très importante . Lire la suite »

Roues hydrauliques ROUES EN DESSUS; DE POITRINE; DE CÔTÉ (SAGEBIEN); EN DESSOUS. CONSTRUCTION ET DONNÉES USUELLES D’ÉTABLISSEMENT. Les roues hydrauliques, connues de l’antiquité, ne Présentent plus guère qu’un intérêt rétrospectif, étant remplacées dans la plupart des cas par des turbines, dont l’emploi se généralise de plus en plus. Toutefois, on les rencontre encore en plaine où elles représentent le type des anciennes installations à force motrice hydraulique. Nous les ... Lire la suite »

USINE ET CANAL DE FUITE. L’usine renferme les moteurs et les machines de travail qu’ils commandent. Les chapitres qui suivent font l’objet de l’étude des récepteurs employés. VANNES ET GRILLES DE PROTECTION. – Vannes. – Les vannes permettent d’intercepter le mouvement de l’eau, soit au barrage, soit dans le canal de dérivation, soit à l’entrée de la chambre d’eau. Lire la suite »

L’arrivée de l’eau à l’usine se fait par une conduite sous pression dite «conduite forcée»: son diamètre dépend du débit et de la perte de charge consentie dans la canalisation; cette perte ne doit pas dépasser 5 à 6 % de la valeur de la chute II.   Lire la suite »

CANAL DE DERIVATION. – Il comprend la prise d’eau, le canal proprement dit et la chambre d’eau ou de mise en charge. La prise d’eau (fig. 1331 et 1332) comporte une grille de protection destinée à arrêter les corps entraînés; une passerelle P permet de la nettoyer et aussi de manoeuvrer les vannes de garde V. La crête de la portion de mur M. Il est arasée au ... Lire la suite »

C’est généralement un massif en maçonnerie formant déversoir et devant résister au courant (fig. 1328). On y ménage des vannettes de décharge permettant de faire écouler l’eau lors des crues, pour maintenir constant le niveau en amont et servant aussi à faire des chasses pour enlever le sable et le gravier déposés à l’entrée du canal de dérivation. Lire la suite »

On se trouve, en plaine, en présence de cours d’eau à fort débit et à faible hauteur de chute. L’aménagement de la chute consiste à dériver le cours naturel de l’eau pour ‘venir alimenter les récepteurs d’énergie. Lire la suite »

L’énergie hydraulique GÉNÉRALITÉS – JAUGEAGE DU DÉBIT D’UN COURS D’EAU – INSTALLATION DES CHUTES D’EAU BARRAGE – CONDUITES FONCÉES – VANNES   Toute masse d’eau élevé à une certaine hauteur par un procédé quelconque naturel ou artificiel peut être considérée comme une réserve d’énergie utilisable dans certaines conditions. Les rivières, ruisseaux, lacs, disposent de cette réserve qui provient de l’énergie calorifique fournie par le soleil. L’action solaire exerce son ... Lire la suite »

Ces moteurs sont construits suivant les mêmes principes que ceux que nous venons de décrire; la différence porte simplement sur l’appareil de transmission et sur leur robustesse qui est plus grande. Le mouvement de rotation de la roue motrice est transmis à un arbre vertical par un système d’engrenages destinés à multiplier la vitesse, communiquant à cet arbre de commande vertical un nombre de tours de 125 à 350 ... Lire la suite »