égalerpent à deux voix de même étendue, de même
force et de même Limbre ; car ce que l’une fera
facilement el avec oxpreHsion sera moins accessible
à l’autre. Ceci so couslulo journ<~llement.
Le tempérnmonl comporl!'. uou _seulcr~1~nt les
aptitudes el les focililé:-;, m1us aussi la res1sla~ce
physiologique . Mais c'ctil tonie uno aulr? ~uesl10n
que je développerai <~ami u1'.c lcç~n s!iccmlc à. la
perte de la voix. J o Liens ncaumorns u vous fa1rn
noter qu'il y a forcémcul de grands rapports - le
plus souvent - enlre le tempérame~t ;~cal et le
tempérament général do chaqu~ md1.v1du. lJ_n
sujet normalement développé do1.t avoir la voix
de son physique, c'est la règle ; mais ~He rencontre
beaucoup d'exceptions, car l'appareil vocal peut
prendre dans l'organisme un développem~nt très
particulier. Tel athlète aura une voix d enfant,
telle femme puissante n'aura qu'un petit soprano.
Inversement des personnes d'aspect chétif pourront
avoir la voix grande. Nous ne pourrons même
pas dire qu'il y a toujours paralléti~me absolu e~tre
le tempérament vocal et le temperament ~espiratoire.
Bèaucoup de fortes chanteuses deviennent
emphysémateuses et gardent la puissance de leur
voix, etc.
Certaines femmes qui sem blcnl sans aucune
vigueur physiologique, qui n'o!it cc quo le souffle)), .
ont celui-ci Lrès puissant cl il y a un contraste
formel et surprenant c11Ll'o leur chétive apparence
physique et l'éuormilu de leu1· voix et de leur
souffle.
Néanmoins les dinlhoses, les états physio-patholocriques
crénéraux se manifestent volontiers dans n b . . . ,
l'appareil respiratoire cl au larynx, mais ici encore