« fail, Yous deyez aYoir un mât assez gros pour êlre percé d’un lrou
11 ù’uuc cxLr6milé à l’autre comme le corps d’une pompe. Et quand
c< YOU~ Youdrez plonger, Yous deyez sonder et bien faire attention à ce
<< que l'eau ne puisse pas arriyer plus haut que le sommet du mât,
« parce que le canal qui traverse cc mât doit Yous donner de l'air,
« puisque l'homme ne peut pas Yine sans cela. Et maintenant, quand
11 YOUS \'Oudrez plonger, alors, a\'CC \'OS vis, faites rentrer en dedans_
H les deux côtés et l'eau entrera
t< par les trous , et ainsi le bateau
« coulera au fond, et il de\Ta y rester
1< à Yolre fantaisie. Et alors, quancl
" Yous Youdrez le faire surnager,
« avec les YÏs repoussez au dehors les
« deux_ côtés et \'Ous rejetterez ainsi
1< l'eau au dehors par les trous.
11 Le bateau s'élèvera et montera sur
<1 l'eau où il flottera à la surface
« comme il le faisait auparavant ».
Nous ayons tenu à donner en détails.
d'après lïnvenleur lui-même, le
très curieux système préconisé par
vV. Bourne, car, outre son intérêt
propre, nous le verrons, longtemps
flprès , en 1720, et même encore de
nos joms, employé aYec succés.
Fig. 5. - Dé1nonstration, par Sturmius, du
principe de la cloche à plongpur (xn1'siècle).
1Bibl. nat. Collegium expuimentale ... ..
Johanne5 Sturmiu8. Réseroe 4658.)
Nous ne sommes pa~ encore au
navire sous-mann, car l'appareil
de vV. Bourne ne faisait que plonger
et ne se mouvait pas. Avec le
Hollandais Van Drebbel nous entrons définiliYement dans l'histoire