Les pistons plongeurs sont d’un diamètre plus petit que celui du cylindre et l’étanchéité n’est assurée que par le presse-étoupe. TIGE DE PISTON. – Les tiges de piston se font en acier et leur fixation au piston s’effectue par un emmanchement conique soigneusement rodé et maintenu par un écrou ou une clavette. Le presse-étoupe assure l’étanchéité des tiges de piston dans leur mouvement de va-et – vient à ... Lire la suite »
Ce genre de garnitures ne s’applique qu’aux pompes ou machines analogues à faible pression, les matières employées sont: le chanvre, le cuir et le bois. Les garnitures en chanvre ne trouvent guère leur emploi que pour les pompes à eau tiède où Je chanvre conserve une certaine souplesse. Lire la suite »
Transformation du mouvement rectiligne alternatif en mouvement de rotation continu PISTONS – PRESSE-ÉTOUPE – COULISSEAUX – GLISSIÈRES – BIELLES – MANIVELLES: CONTRE-MANIVELLES; ARBRES COUDÉS; EXCENTRIQUES – VOLANTS. Dans toutes les applications de la mécanique on est amené à se servir du mouvement de rotation : transmissions, pompes centrifuges, machines-outils, dynamos, etc. Le mouvement de rotation, transmis directement par les moulins à vent, les roues et turbines hydrauliques, ... Lire la suite »
Tandis que, dans les commandes par poulies, la force et le mouvement sont transmis par le frottement de la courroie sur la jante, on peut réaliser des commandes sans courroie par simple frottement des jantes des poulies entre elles, dans des conditions spéciales. Il est compréhensible qu’on ne peut supprimer cet intermédiaire qu’est la courroie que si les axes des poulies sont très rapprochés pour permettre le contact ... Lire la suite »
Vis et la roue, certains constructeurs donnent à la vis un profil spécial. La surface moyenne de la vis est une surface de révolution engendrée par la rotation du cercle primitif de la roue autour de l’axe de la vis. Réducteur Grisson. – Ce genre de réducteur est basé sur un autre principe et donne de bons résultats pour les transmissions à rapport élevé (roues hydrauliques, moulins, etc., ... Lire la suite »
Ces engrenages tirent leur nom de la forme même de leur denture. Leurs axes ne se rencontrent pas et peuvent faire entre eux des angles quelconques. On les emploie le moins possible dans ces conditions et on tâche de les remplacer par des engrenages coniques ou par des commandes par courroies. Lorsque les axes sont perpendiculaires, toujours sans se rencontrer, l’engrenage devient un groupe vis sans fin et roue ... Lire la suite »
Les roues d’angle transmettent le mouvement entre des arbres occupant des positions angulaires. Elles vont par paire, souvent également par 3 ou 4 comme le représente la fig. 1162. L’inclinaison des dents sur l’axe de l’arbre varie avec le rapport de réduction. Il n’est donc pas possible de modifier l’une des roues en en faisant varier le nombre des dents (comme cela peut se faire pour les roues ... Lire la suite »
Les engrenages. à chevrons sont des engrenages dont la denture, au lieu d’être droite comme dans les engrenages ordinaires, est formée de plusieurs éléments occupant des positions angulaires. Lire la suite »
Dentures cycloïdales. – La denture cycloïdale s’obtient par le roulement d’une circonférence génératrice sur les deux circonférences primitives des engrenages envisagés. Mais on remplace en général ce tracé par des tracés approximatifs par arcs de cercle qui donnent de bons résultats. Procédé de Reuleaux. Tracé pour les faces de roues à petit nombre de dents et à flancs radiaux. Dentures en développantes. Lire la suite »
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