Cheminées – Tirage naturel

· -e compo- d”un bre horizontal portant
ieur di que muni~ de paleite · ch<1rgées
brova”e. Le o forme un rotor enfermé
dan- nÏie eu”‘eloppe cylindrique partagée en
n au de c e- que e rotor porte de disques.
Chaque jeu éie pale e participe à son tour
à la p ‘°’ér. tion.
Le l”en ‘ e po :.é par l’arbre du rotor
occ pe. à ‘ex -é ··é de l’appareil, une case
S?éciale o ée a distributeur. Ce ventila- cree er le puh·érbateur un courant
· – a • es parti~ules de charbon
de pnlvérisation à la suivante et
c1U2:0:,,,~ – alement la poussière ainsi obtenue
tt ·air de combustion a’.rant de l’envoyer
fo er.
L”àir de combustion entre dans l’appareil
par une ouverture supplémentaire placée près
dn Yentilateur. Cette ouverture est réglable.
Le foyers peuvent être ainsi aJimentés p1ar
un ou plusieurs pulvérisateurs qui r·eçoivent l·e
charbon en morceaux et l’envoient pulvérisé,
dans le foyer à l’aide d’un ventilateur.
l”ne autre manière de faire consiS’te à préparer
à l’avance le •combustible dams un atelier
spécial centralisant la pulvérisation du charbon,
et qui comprend :
– un concasseur (lorsque le charbon est
reçu en morceaux de plus de 30 mm. de diamètre);
– un séparateur magnétique pour enlever
les morceaux de fer contenus dans le charbon
(lorsque le pulYérisaëeur n’est pas construit
pour receYoir des corps durs);
– un sécheur (cylindre rotatif chauffé dans
lequel pas!le le cornbustible);
– un pulvérisateur où le charbon se réduit
e poudre fine.
Le combustible en poudre est ensuite transp
té à la chaufferie dans des tubes, soit par
“‘·- san fin, soit sou1s• l’action de l’air comprimé.
Cheminées – Tirage naturel – 65
VI
Cheminées
1\. – Tirage naturel
30 .. La cheminée réduite à sa plus simple express10n
est un tuyau vertical destiné à faire
affiner dans le foyer l’air nécessaire à la combustion.
Le mouvement des gaz dans la cheminée,
cc l’appel », comme on dit ù’ailleurs très improprement,
est simplement dû à la différence
de poids entre la colonne des gaz chauds circulant
dans la cheminée A B (fig, 107) et l’air
froid existant dans une colonne idéale D E de
même hauteur découpée dans l’atmosphère. Le
poids de l’air froid l’emportant sur celui des
gaz chauds, l’air froid extérieur passe au travers
du foyer en chassant les gaz brûlés.
Il y a, dans la cheminée, des gaz constitués
par un mélange d’ailleurs as~ez variable d’air,
d’acide carbonique, d’oxyde tle carbone, d’hydrogène,
d’hydrogènes carbonés, dont la densité
moyenne est, à froid, sensiblement la même
que celle de l’air.
D’après les analyses de M. ScHEURER-KESTNER
( 1 ), on peut établir comme suit la composition
moyenne des gaz de la combustion
d’une houille ordinaire brûlée avec un volume
d’air de 50 % en excès.
Volume dans Poids dans
Désignation des gaz un mèlre cube un mètre eu be
du mélange du mélange
mètres eu bes) (kilogrammes)
Acide carbonique … 0,110 0,21747
Oxygène ……….. 0,060 0,08580
Oxyde de carbone … 0,003 0,00374
Hydrogène ……… 0,005 0,00048
Hydrogènes carbonés 0,003 0,00216
Azote ………….. 0,745 0,93572
Vapeur d’eau ……. 0,074 0,05.9 20 1,000 1,30457
Ainsi le poids du mètre cube des gaz de la
combustion ramené à 0° et 760mm pèse en:viron
1 kg 304, alors que l’air, dans les mêmes conditions,
pèse 1 kg 293. On peut donc regarder
les deux densités comme pratiquement égaies
à froid.
On sait que tous les gaz ont même coefficient
de dilatation, quelle que soit la pression
qu’ils supportent. Ce coefficient est égal· à
1/2~3 ou 0,00367.
En s’échauffant de t•, la densité d’un gaz
ou d’un mélange de gaz passera de la valeur d
à la valeur
Ainsi, le mélange des gaz que nous avons en
vue, en s’échauffant de 250°, par exemple,
( f) SER. Traité de physique lndustrleUe.
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