de la pièce P est transmis à la p1ece Q (fig.
302) par une conduite N remplie de billes.
Un bras fixé sur l’arbre M s’applique sur Q;
mais dès que ce bras se déplace, Q est
Turbine Brown, Boverl-Parsons – 165
soulPvée sous la poussée des billes, tandis
qu:! P est repoussée par le plateau du ressort
qui se détend brusquement et ferme la
sou.pape S.
Si donc la vitesse de la turbine dépasse de .
10% la normale, les poids du régulateur J
viennent frapper le levier située au bout de
l’arbre M, lequel se met en mouvement en enentraînant
le déclenchement de Q et de P.
On peut déterminer ce déclenchement, à
la main, en tirant sur le levier placé sur
l’arbre M.
Pour remettre en route, il faut tourner le
volant de la soupape d’admission S (fig, 3Q3),
qui agit sur la tige T, pour armer le ressort et
ramener les pièces P et Q et les billes N dans
leur position primitive.
Soupapes automatiques. Les tuyères de la
turbine sont réparties en plusieurs groupes
(fig. 305 c). Le premier comprend la moitié
environ des tuyères et se trouve réglé par la
soupape principale de distribution W, soumise
à son piston servo-moteur Y. Sur chacun des
groupes de tuyères suivants, à l’exception du
dernier, agit un réglage spécial, qui consiste en
une soupape A1 sollicitée par le piston servomoteur
Z (fig. 301 et 306): ces groupes sont
dits «a dditionnelsn. Le dernier groupe dit
de «tuyères supplémentairesn n’entre en jeu
qu’en cas de surcharge et se commande par
une soupape manoeuvrée à la main (fig. 305 c).
Le nombre des soupapes additionnelles est
de 1 ou 2 dans les unités de petites et moyennes
puissances; il est de 3 ou 4 dans les grosses
unités. Ces dernières sont aussi munies de
Mots-clés : Boveri-Parsons Turbine Brown Turbines à vapeur