Machines à vapeur

et répétées, auquel cas la machine compoun.l ne peut pas être économique. L’emploi de la détente unique s’impose aussi quand la pression de la vapeur est faible, ne nécessitant pas de détente multiple et aussi quand on a besoin de grandes quantités de vapeur pour des secvices auxiliaires de chauffage; la machine fonctionne ·alors sans condensation. Modes d’action de la ... Lire la suite »

Systèmes de machines à vapeur . 70. DISPOSITIONS GENERALES DES MACHINES FIXES. – Dans les premières machines à vapeur, le mouvement rectiligne du piston était transmis à l’aide d’un parallélogramme à un balancier commandant la rotation de l’arbre par bielle et manivelle (fig. 205). Le système avec balancier fut modifié pour les machines marines: dans le but de diminuer la ... Lire la suite »

à la fois, par des bielles et leviers convenablement combinés, d’une part, le mécanisme d’admission, et, d’autre part, le mécanisme d’échappePmoeunrt .l’ a d m1· ss1· 0n, une b”i e1 1 e re l”i e’ e a’ l’ excentrique s’articule avec un levier qui, pendant la période de traction, entraîne, par l’entrèmise de la palette de déclic, la fourche d’accrochage ... Lire la suite »

69. DISTRIBUTION PAR PISTONS VALVES. – Nous décrivons ci-après le système des Etablissements Dujardin et Cie. Il est caractérisé par l’emploi de pistons distributeurs indépendants pour l’admission et · l’échappement installés verticalement dans les fonds des cylindres. peur se trouvent parfaitement équilibrés el peuvent travailler sous de fortes pressions et à de grandes vitesses sans fatigue pour le mécanisme de ... Lire la suite »

Système sans décile. La distribμtion système LENTZ, appliquée par la maison Lanz à ses locomobiles, se compose de deux soupapes placées vis-à-vis aux extrémités du cylindre (fig. 228) et commandées paP un e camr G unique. . Les soupapes à double· siège sont Système sans déclic – t25 maintenues par un ressort H, la came G possède un mouvement de ... Lire la suite »

dont le bras I Q abando.nne l’extrémité du ·levier 1. Dès le déclanchement de ce déclic, la soupape se referme alors brusquement par l’effet d’un ressort de rappel. La fermeture silencieuse est assurée par un frein à air (dash-pot). mouvement réglable à la main reste invariable, indépendant de- la position du régulateur. Dans les machines à multiple expansion où la ... Lire la suite »

Mouvement des soupapes. – Une partie intéressante de la distribution réside dans la construction des soupapes d’admission. J:.a ~I i i tige T de la soupape porle un pislon P qui se meut dans un cylindre rempli d’huile (fig. 224); ce piston porte sur son pourtour une rangée d’ouvertures a de forme circutaire, terminées à leur partie supérieure par une ... Lire la suite »

ment placées au-dessous (fig. 221). Elles sont à double siège (fig. 222 a), et quelquefois à quatre sièges (fig. 222 b) pour les machines à grande vitesse, ceci dans le but de diminuer la course des soupapes et par suite de leur conserver une marche silencieuse, quoique leur mouvement soit très rapide. Cylindre de machine Sulzcr Les enveloppes des soupapes, ... Lire la suite »

Distribution système du Creusot. – La figure 218 donne la vue extérieure de l’ensemble du cylindre donné en coupe par la figure 219. Distribution par soupapes – 121 La touche e vient en prise avec une de~xième touche t fixée sur une manivelle m calee sur l’axe du tiroir et reliée par la tige s au mécanisme du rappel (dash-pot ... Lire la suite »

vient porter sur la touche X dont la position est sous la dépendance du régulateur. En oscillant, le pièce V H L libère l’extrémité Q de la tige t. Le fonctionnement est le suivant: Le plateau P se déplace autour de l’axe 0, les biellef> attachées en D et D’ agissent sur les sabres, le bras L par exemple pousse ... Lire la suite »