Nous avons dit qu’à une certaine quantité de travail correspond une quantité de chaleur dégagée (frottement, choc, compression) et inversement la dépense d’une certaine quantité de chaleur s’accompagne d’une production de travail (moteur ou résistant).
A la suite des travaux de JOULE, de Hirn, de MAYER, on a conclu qu’il y avait équivalence entre la quantité de chaleur produite et la quantité correspondante d’énergie.
La production d’une grande calorie correspond à une énergie de 425 kilogrammètres. Si T est le travail en kilogrammètres et Q la quantité de chaleur en calories, on peut écrire :