Les fers ne sont plus guère employés en construction. Ils ont encore quelques usages spéciaux tels que les fers à cheval, la fabrication de chaines. En mécanique, on ne fait plus en fer que les pièces pour lesquelles la malléabilité et la facilité de forgeage de ce métal sont spécialement mises Il profit. ACIERS SPECIAUX, ALLIAGES. Nous considérons les plus importants de ces alliages au point de vue ... Lire la suite »

RECUIT. – Pour faire disparaître ces différences de texture et ces tensions internes, on chauffe la pièce jusqu’a ce que les éléments constituant le métal rentrent à nouveau en solution homogène, sans toutefois dépasser ce point de transformation, et on laisse refroidir lentement la pièce. On ne peut d’ailleurs connaitre la température exacte à laquelle il faut chauffer un acier pour obtenir la disparition complète des différences internes, qu’après ... Lire la suite »

CEMENTATION. – La cémentation est un traitement chimique du fer après lequel on applique presque toujours la trempe. Ce traitement a pour but la transformation d’un fer ou d’un acier doux, c’est-à-dire d’un métal ne contenant que très peu de carbone en acier ordinaire ou acier dur, qui en contient une plus grande quantité. Cette opération se fait en chauffant dans des fours spéciaux (fig. 896) ou dans ... Lire la suite »

TREMPE. C’est un phénomène sensiblement analogue qui se produit dans les aciers sous l’action de la trempe. Comme les aciers ont une teneur en carbone beaucoup plus voisine de la proportion eutectique que les fontes, la séparation du carbone s’y fera plus difficilement, et les actions thermiques ont pour effet des modifications profondes dans la nature et les proportions des différents constituants métallographiques. Si, par exemple, nous prenons un ... Lire la suite »

Nous avons vu plus haut l’influence de la chaleur sur la constitution interne du fer pur: la chaleur influe de même sur la nature et la proportion des différents constituants des dérivés du fer; et si les lois générales des alliages s’appliquent toujours, leurs conséquences apparentes sont souvent modifiées, déterminées ou arrêtées, accélérée; ou retardées par les traitements thermiques subis au cours de la fabrication. Lire la suite »

Le fer, que nous connaissons tous, n’est pas un métal pur ; il est toujours mélangé d’une certaine quantité de carbone et le fer absolument pur ne  peut être obtenu que par un procédés chimiques long et coûteux: il n’a donc aucun intérêt industriel. Les fers industriels sont les composés du fer et du carbone que nous allons étudier. On les distingue précisément suivant leur teneur en carbone en trois ... Lire la suite »

PROCÉDÉS SIDÉRURGIQUES – LE FER ET SES DÉRIVÉS – LA FONTE: LE HAUT-FOURNEAU – L’ACIER: ACIER AU CREUSET; CONVERTISSEUR; FOUR A SOLE – FOURS ÉLECTRIQUES DESCRIPTION D’UNE GRANDE USINE MÉTALLURGIQUE Le fer a été employé par l’hommes depuis les temps les plus reculés, à tel point que les Grecs dan. leur mythologie en faisaient remonter l’origine à Vulcain, le Dieu forgeron, qui aurait enseigné ... Lire la suite »

Ainsi les métaux forment la plus grande partie des corps entrant dans la composition des machines. Il n’en a pas toujours été ainsi, et les mécanismes d’autrefois, ceux de nos vieux moulins par exemple, étaient complètement en bois. Dans un moulin moderne, au contraire, tout est métallique, et il n’est pas jusqu’aux antiques meules de pierre qui n’aient été remplacées par de robustes cylindres en fonte. A quoi ... Lire la suite »

PARTIES DES MACHINES Matières employées dans l’établissement des machines Introduction UTILITE DE CETTE ETUDE. – Nous venons d’apprendre sur quels principes fondamentaux reposent tous les mécanismes: avant de voir l’application de ces principes aux machines, nous étudierons ici les différentes matières premières que le mécanicien sera conduit à employer. Car c’est par la connaissance de ces corps, de leurs propriétés, de leurs qualités mécaniques, et aussi des moyens ... Lire la suite »

Nous avons dit qu’à une certaine quantité de travail correspond une quantité de chaleur dégagée (frottement, choc, compression) et inversement la dépense d’une certaine quantité de chaleur s’accompagne d’une production de travail (moteur ou résistant). A la suite des travaux de JOULE, de Hirn, de MAYER, on a conclu qu’il y avait équivalence entre la quantité de chaleur produite et la quantité correspondante d’énergie. La production d’une grande ... Lire la suite »