mécanique

Le principal inconvénient qu’on remarque dans l’emploi des chaudières semi-tubulaires est !’entartrement des tubes quand on emploie des eaux chargées en sels calcaires et magnésiens – ce qui est le cas le plus général. Le nettoyage des tubes est difficile à faire et au bout de quelques années, !’entartrement est tel qu’il faut couper les tubes pour les sortir du ... Lire la suite »

avec des tubes lisses- De distance en distance, une armature (fig. 7), constituée par un cer· cle de fer, maintenait la rigidité de ces foyers et assurait leur résistance à la pression extérieure. Toutefois – et l’expérience l’a montré – cette manière de faire était très dangereuse parce que, si pour une cause quelconque le foyer ne pouvait résister à ... Lire la suite »

tif, porter jusqu’à 20 kg d’eau et plus la quantité d’eau vaporisée par heure et mètre carré de surface de chauffe de chaudière à bor:illeurs. Souvent les chaudières à bouilleurs sont munies latéralement de réchauffeurs constitués par de longs bouilleurs dans les carneaux desquels passent les gaz chauds avant de se rendre à la cheminée. L’eau, avant de se rendre ... Lire la suite »

Systèmes de chaudières Des nombreux systèmes de chaudières à vapeur qui ont été créés depuis l’inv,ention des machines à vapeur, nous n’indiquerons que quelques types paPmi les plus importants, tels qu’ils sont employés aujourd’hui dans les usines. On peut diviser les chaudières en deux catégories primordiales, suivant qu’elles ont un grand ou un petit volume d’eau. Si l’on met de ... Lire la suite »

ensemble, d’une série commune de deux bandes d’essais comme il est dit ci-dessus, à la condition que ces tôles aient été présentées à la réception avant cisaillage, c’est-à-dire adhérentes, et leur chute commune pour essais encore aUenante. Comme conséquence de cette disposition, si les différentes tôles ou séries de tôles issues d’une même feuille sont cisaillées avant leur présentation en ... Lire la suite »

1. – Entretoises Le coefficient de sécurité à adopter ne pour.ra être inf.érieur à 7. J. – Boulons Le coefficient de sécurité à adopter ne pourra être inférieur à 10. Les résultats trouvés -par les formules et coefficients ci-dessus devront être arrondis au millimètre supérieur. Les épaisseurs des éléments des chaudièrtis qui ne sont pas prévus ci-dessus seront fixées par ... Lire la suite »

quant et sera fixé au corps cylindrique, de manière qu”en toute section les attaches présenteront au moins la résistance du métal enleve dans cette section. Ne sont pas considérés comme renforts, Je, piètements en métaux coulés rivés aux corps cylindriques; les parties en saillie des piètements ou autres pièces en métaux laminés n’interviend ·ront dans le calcul que pour une ... Lire la suite »

chaudière sera donc le 1/50 de la surface de c hafu fe ou -10-0 = 2m’e tres carre•s . 50 Suivant la nature du charbon brûlé et la disposition des surfaces de chauffe, on donne aux chaudières des surfaces de grille variant entre 1/ 30 et 1/50 de la surface de chauffe. La surface de grille, pour les chaudières destinées ... Lire la suite »

l’évolution croissante de l’importance des usines centrales pendant ces dix dernières années a conduit à augmenter la pression de la vapeur utilisée. Le timbre normal des arosses chaudières était de 18 à 20 kg; l’usine de Gennevilliers (U. D. E.) avait adopté 25 kg. Les EtatsUnis, après avoir installé de nombreuses chaufferies à 40 et 50 kg, utilisent actuellement d’une ... Lire la suite »

férence des _deux pressions est naturellement · de 1 kg. 033 par centimètre carré, valeur de la pression atmosphérique- Ainsi, on dira que la pression effective dans une chaudière est de 6 kilogrammes par centimètre carré, ce qui revient à dire que, comptée en pression ab-_ solue, elle serait de 7 kilogrammes par centimètre carré (en négligeant les 33 grammes ... Lire la suite »